Une table ronde sur le renouveau de l'architecture des musées de la fin du XXe siècle se tiendra le 18 octobre 2025 de 14h30 à 17h30, suivie d'une visite de l'exposition "Le musée bleu, une architecture couleur du temps"
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Une table ronde sur le renouveau de l'architecture des musées de la fin du XXe siècle se tiendra le 18 octobre 2025 de 14h30 à 17h30, suivie d'une visite de l'exposition "Le musée bleu, une architecture couleur du temps"
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Exposition du Centre de création industrielle aux Halles de Baltard, Paris, décembre 1970
De la ville à l’objet. Les aventures du graphisme dans les expositions du CCI
Le Centre de création industrielle et les expositions (1968-1992) : décentrages successifs.
Extrait de l'article publié dans PROBLEMATA.ORG, plate-forme en ligne qui publie des articles autour des disciplines du design.
auteur: Imbert, Clémence
Le 3 décembre 1970, le Centre de création industrielle (CCI) inaugure sous la grande voûte des Halles Baltard, promises à la démolition, une exposition intitulée La rue, l’espace collectif, ses signes, son mobilier. Ce n’est pas la première exposition que le Centre organise dans cet espace, qui lui permet de mettre en place des installations plus généreuses que dans les petites salles du musée des Arts décoratifs, où le CCI a vu le jour un an plus tôt. L’exposition aborde la question du design dans le cadre très large de la ville, de sa planification, de son appropriation par les citoyens. L’approche se veut la plus large possible, embrassant, comme le CCI prétend le faire à l’époque, « l’environnement », « le cadre de vie » et ce qu’il résumera bientôt par la triade « les espaces, les objets et les signes ». Il est donc question, dans cette exposition, à la fois d’urbanisme (au sens le plus large : architecture, transports), du design du mobilier urbain et, en ce qui concerne ce que le CCI appelle alors « les communications visuelles », de la signalétique.
Extrait de l'article publié sur le site "ARLES LES RENCONTRES DE LA PHOTOGRAPHIE
ARLES
LES RENCONTRES DE LA PHOTOGRAPHIE
Edition 2025 MUSÉE DÉPARTEMENTAL ARLES ANTIQUE LE MUSÉE BLEU AN ARCHITECTURE IN THE COLOR OF TIME 25 MUSÉE DÉPARTEMENTAL ARLES ANTIQUE 7 JULY - 5 OCTOBER 2025 09.30 AM - 08.00 PM CLOSED ON TUESDAYS LAST ENTRANCE: 5.30PM. disabled accessible |
Le Musée Bleu, an Architecture in the Color of
Time, is an exhibition produced in collaboration
with the Cité de l'Architecture et du Patrimoine, and celebrates the birth of
the institution, its collections and its architecture.
These 30 years of service to heritage were enabled by the curator Jean-Maurice
Rouquette and the architect Henri Ciriani, who created a showcase for the
collections that finally brought them together.
The tour traces Ciriani’s work and the various stages in the creation of the
Musée Bleu. Concurrently, it sheds light on the museum’s historic
holdings—artworks scattered across Arles since the 18th century, now brought
into focus. Everyone will be able to share their own vision of “their” Musée
Bleu and their memories thanks to the reconstruction of the collection of
testimonies assembled for the museum's 30th anniversary.
SMITH offers a visual dialogue with the collections. Students from
the École nationale supérieure de la photographie d'Arles, led by Yannick
Vernet, Oualid Lazrak and Luce Lebart, are also adding their own creations to
the exhibition, entitled Mais pour qui la pierre se prend-elle?
Based on the collections of the Musée Départemental Arles Antique,
its history and geographical location, fictional narratives have
emerged, brought to life by 8 ENSP students: Audrey Borja, Alexander Dimitrios
Papadopoulos, Marion Hamiez, Jan Oliver Heise, Soyan Issa, Fédéri
Laurence and the duo Hugo Jacq & TeeradonThongsaard. Archaeological
objects, fragments of history, archives, collections and memories of
excavations become the starting points for an imaginary exploration. Using
photography, writing, sound and video, students combine the distant past with contemporary
issues to produce fictions deeply rooted in reality.
Inspired by Donna Haraway's “speculative fabulations”, the project invites
us to think with ruins: not as frozen relics, but as living, active
materials capable of dialoguing with our current concerns.